mercredi 10 septembre 2008, par André Csillaghy (Institute of 4D Technologies and DataSpaces, School of Engineering, University of Applied Sciences Northwestern Switzerland, CH-5210 Windisch, Switzerland)
Mardi 8 avril 2008 à 11h00 , Lieu : (Salle de conférence du bât. 17)
Les observatoires virtuels dans le domaine solaire et héliosphère se sont développés comme des petit pains ces dernières années. Pas tellement en Europe, où l’argent manque, mais plutôt aux Etats-Unis. Ils ont reçu la dénomination affectueuse de "VxO" (remplacez le "x" par plus ou moins n’importe quel objectif de recherche : Solar, Heliospheric, Magnetospheric, Solar Terrestrial, etc.) Mais d’ailleurs... n’était-ce pas le but des observatoires virtuels de n’avoir q’un seul point d’accès à toutes les données des quatre coins du monde ? J’essayerai d’éclairer ce mystère virtuel, en n’oubliant pas de rappeler quels sont les buts centraux des OV et quelles sont leurs bases techniques. Ensuite, j’essaierai de vous montrer aussi ce que ces instruments, faits de lignes de code plutôt que de vis et de boulons, peuvent offrir de nouveau à la communauté, en plus d’un support logistique. Mais je n’en resterai pas là. Je reviendrai sur le fait que les OV ne sont pas encore universellement acceptés par leurs principaux clients, les scientifiques. Pourquoi donc ? J’essaierai de répondre en présentant un nouveau projet d’augmentation de l’OV solaire, qui, sans doute, remplacera la passerelle reliant ces nouvelles technologies aux desktops des scientifiques par un pont.